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Recherche: Prise de position, après la RIDEF

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შედეგები

Problématique des châtiments corporels à l’école primaire

INTRODUCTION

Le souci premier de toute société est l’éducation de ses membres. L’école primaire, cadre institutionnel de formation des enfants, contribue à cette éducation de l’Homme de demain. La loi d’orientation de l’éducation de base du Burkina Faso fait de la formation morale, intellectuelle et physique, une des finalités de l’éducation afin de permettre au jeune écolier d’accomplir ses tâches futures d’Homme. Seulement les méthodes employées par certains principaux acteurs de l’éducation, en l’occurrence les enseignants, sont en déphasage par rapport aux principes de la psychologie de l’enfant. Il s’agit de la violence physique, morale et psychique dont il est victime. Ces pratiques dont les conséquences influent négativement sur la vie de l’écolier interpellent plus d’un. C’est pourquoi, l’Association Burkinabé de l’Ecole Moderne (ABEM), soucieuse de la promotion des Droits de l’Enfant a choisi de faire imprégner cette situation aux participants de la 28e RIDEF en tenant l’atelier don le thème est : LA PROBLEMATIQUE DES CHATIMENTS CORPORELS DANS LES ECOLES PRIMAIRES DU BURKINA FASO.

Plus nombreux, donc moins visibles

Plus nombreux, donc moins visibles…
 
Si la RIDEF a été si riche et si agréable, ne le doit-on pas à la présence de tant d’Africains ?
Jusqu’ici, et sauf naturellement à Saint-Louis du Sénégal, les Africains avaient été bien peu nombreux dans les RIDEF.